si :
- on pouvait les arrêter facilement en cas de surproduction ;
- l’uranium était produit en France ;
on savait récupérer ou détruire les déchets ;
- on récupérait toute cette vapeur d’eau qui réchauffe l’atmosphère ;
- on était sûr de boire de l’eau et de respirer de l’air non pollués.
Nous ne manquons pas d’électricité et pour utiliser nos surplus, on nous vend des voitures électriques, des climatiseurs, etc.
Si cela ne suffit pas, on coupe d’abord les centrales hydrauliques, les éoliennes et les panneaux photovoltaïques.
Si mes renseignements sont bons, les terrains où sont implantées les éoliennes sont loués quelque soit leur production. On ne pourra plus jamais y semer de blé. Ce n’est pas la même chose pour mes panneaux que j’ai payés très chers.
On nous dit que l’atome est une énergie propre.
On embrouille les gens en leur faisant confondre le gaz carbonique et le monoxyde de carbone. Le gaz carbonique n’est pas dangereux et nous en produisons en respirant. Il est indispensable pour la fonction chlorophyllienne, sinon nous aurions des arbres et du gazon tout blanc. On appelle d’ailleurs la forêt amazonienne, qui en consomme une grande quantité : « le poumon de la planète ».
Récemment une opération porte ouverte a été organisée à Nogent/Seine. Comment ont-ils expliqué qu’il n’y avait aucun danger tout en distribuant des pastilles d’iode sur un rayon de 15Km ?
Construite dans les années 70, elle ne devait durer que 25 ou 30 ans
Et évidemment, comme pour le Covid, il n’y aura jamais de débat contradictoire.
Origines de l'uranium importé en France
La répartition exacte des importations françaises n’est pas communiquée par EDF et Orano, qui relaient des documents assez globaux sur l’origine de ces importations.
Le groupe français extrait notamment de l’uranium au sein des mines d’Arlit au Niger et de Muyunkum et Tortkuduk au Kazakshtan (via la co-entreprise Katco dont elle détient 51%, les parts restantes étant détenues par KazAtomProm).
Les 3 pays ayant extrait le plus d'uranium naturel de leurs mines en 2022 sont le Kazakhstan (21 227 tonnes, soit 43% de la production mondiale), le Canada (7 351 tonnes, 14,9%) et... un pays africain qui n'est pas le Niger, mais la Namibie (5 613 tonnes, 11,4%).
Le Niger n'était « que » le 7e producteur mondial en 2022 (2 020 tonnes, 4,1% du total mondial), derrière - outre les 3 pays précédemment cités - l'Australie (9,2%), l'Ouzbékistan (6,7%) et la Russie (5,1%).