4.26.2024

C’est nouveau

C’est un terme qui me fait fuir. Le « vu à la télé » aussi. On se retrouve dans les magasins en face d’une énorme quantité de produit ; tous à peu près les mêmes, qui remplacent les anciens qui ont fait leur preuve.
Quand on achetait de l’huile, de la farine, des lentilles, on se moquait de la marque. Le beurre était vendu en motte, et le lait entier en vrac. Rien n’empêchait de rajouter du sucre, de la confiture ou des morceaux de fruits dans les yaourts. C’était la même chose pour les fournitures scolaires ou les vêtements.
Maintenant c’est la valse des étiquettes pour des produits « testés en laboratoire ». Les boites qui étaient imprimées de découpages pour les enfants nous faisaient connaître toute la liste des ingrédients, maintenant cette liste est souvent en caractères minuscules. Les fromages n’étaient pas faits avec du lait pasteurisé et les bonbons ne contenaient pas de gelée de veau mais de la gomme arabique.Les enfants, obligés de manger à la cantine sont, dans la majorité des cas, nourris par des traiteurs.
Les consommateurs sont en grande partie responsables et les publicitaires le savent très bien.

4.23.2024

La Sécurité

C’est un prétexte pour nous imposer des lois liberticides. Bien sûr, il est tout à fait normal d’obliger les gens à avoir un permis de conduire (qui est souvent transgressé) de chasse ou de pèche... Mais je veux parler de toutes les petites lois ou décrets qui nous pourrissent la vie.
On sait depuis toujours que le feu brûle et les couteaux coupent. On sait qu’on se fait mal en tombant et qu’on a peur de se noyer si on ne sait pas nager. Je ne connais personne qui soit bête au point de scier la branche sur laquelle il est assis et tous les décrets n’y changeront rien.
Mais pourquoi nous imposer les casques, les gants, les ceintures, les entourages de piscines, les masques, les vaccins ? Je ne suis pas contre ceux qui pensent que c’est utile et utilisaient certaines de ces méthodes avant l’obligation. Je me pose toujours les questions suivantes : « A qui ça rapporte ? » « Combien coûte la mise en place de tous ces décrets ? ».
Si ça continue il nous faudra un permis pour acheter une tronçonneuse ou un taille haie !!! Je sais très bien prendre soin de moi et de mes enfants. En voiture, les ceintures n’existaient pas mais nous mettions des oreillers en mousse sous le siège pour éviter qu’ils ne se fassent mal en tombant. J’ai appris à mon fils à éviter les clous d’une vieille charpente qu’il fallait débiter à la tronçonneuse. La sécurité est notre affaire. Ceux qui font un métier dangereux le savent et n’attendent pas un décret pour se protéger.

4.20.2024

Fraternité

C’est le seul mot de notre devise qui a encore un sens.
Nous avons des bénévoles dans les associations, des héros qui risquent leur vie pour sauver celle des autres, des personnes qui apportent de l’aide dans les incendies, les inondations, les tempêtes Dans mon quartier, lorsque j’étais jeune, on s’était partagé les enfants d’une maman qui se faisait opérer. Cela avait enchanté le petit garçon dont j’avais hérité parce qu’il logeait chez son copain.
Mais (parce qu’il y a un mais), nous sommes continuellement victimes d’égoïste. « Chacun pour soi ». On se réjouit pour des faillites. Les plus gros font disparaitre les petits commerces. L’aide humanitaire est pour les plus forts. Au gouvernement : on écrase son opposant avec des rumeurs et des calomnies. Le but est d’avoir le maximum d’argent, la meilleure place et le pouvoir. Le bien des français passe après.
Heureusement, on ne peut pas gérer la fraternité par des lois. « Ils » seraient capables de mettre un PV à quelqu’un qui se jette à l’eau pour sauver une personne parce que la baignade est interdite ! L’exemple d’un homme qui s’est jeté avec sa voiture sur celle d’un malfrat en délit de fuite : les assurances refusent de rembourser la voiture à cause d’un accident volontaire ! Les gens ont organisé une cagnotte.
La fraternité est en péril avec Macron. Il arrive à monter les français les uns contre les autres. On l’a vu pendant le Covid

4.18.2024

Egalité

Encore un mot qui n’a plus aucun sens… s’il en a déjà eu un.
« Les hommes naissent libres et égaux en droits ». Coluche a ajouté : « Il y en a tout de même qui sont plus égaux que les autres ».
Il y a le travail. Les pistonnés ont les meilleures places même s’ils sont nuls. Le gouvernement place tous ses copains, quitte à créer des postes supplémentaires inutiles.
Mon patron disait quelques fois : « On ne peut tout de même pas le faire payer, c’est un médecin ». Les restaurateurs font des prix spéciaux aux gens connus ou aux titrés. On pourchasse les gens d’en bas pour des dettes d’un dizaine d’euros et on traite différemment ceux qui doivent plusieurs milliers d’euros.
Il est reconnu que la justice n’est pas la même pour tous.
Quant à la santé, on a vidé tout un étage dans un hôpital pour opérer Mitterrand.
 
Est-ce de l’égalité si une femme est payée moins cher qu’un homme pour le même travail et qu’en plus, dans beaucoup de cas, elle doit ajouter à sa journée de travail, l’entretien et de la maison et de sa famille ?

4.16.2024

Liberté

Premier mot de notre devise nationale.
On finit par ne plus savoir ce qu’il veut dire. Je ne vais parler que de ce qui nous touche moi et mon entourage.
On nous retire petit à petit tous nos droits. On ne peut plus naître, vivre ou mourir comme on veut. Cela commence avec les 11 vaccins dont certains, comme la rougeole, ont aggravé les maladies bénignes car on ne fabrique plus d’anticorps. Puis on a supprimé des écoles rurales pour faire place à des casernes dans l’agglomération la plus grande proche. Les bébés de 3 ans sont ficelés dans des car à une heure impossible l’été (j’ai déjà parlé de la ceinture obligatoire dans les cars). Et on n’a pas le droit de choisir son école. Quant aux cours par correspondance, c’est très compliqué. Souvent les études ne servent à rien. On apprend aux enfants des absurdités comme la théorie du genre. Savez-vous que les vaccins n’empêchent pas les maladies, mais les rendent moins fortes ? Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
L’obligation d’être vacciné pour avoir le droit de travailler est une atteinte à nos libertés (Je ne parle pas des vaccins normaux qui empêchent d’être malades.) 
Le travail. On nous supprime les trains et les cars et on nous oblige à acheter une voiture, électrique de préférence, avec tous les frais que ça entraîne. Il faut tout déclarer et on paye la TVA partout sauf sur la salade que me donne mon voisin, mais ça ne saurait tarder.
J’ai un cabanon. Il m’a coûté presque 1/4 de TVA, plus des fouilles archéologiques. Celui qui l’a construit a payé des impôts. C’est la même chose pour ma maison et je dois payer le foncier pour avoir le droit de la garder.
Et les piscines ? Elles sont imposées et en plus il faut payer des protections qui ne servent à rien. C’est aux parents de surveiller leurs enfants. De plus il n’y a pas de protections au bord des rivières ni au déversoir de Plancy, par exemple, dont les parois verticales sont hautes.
On nous pourrit la vie comme pendant le Covid où tout changeait tous les jours. A la fin, c’est l’hôpital et l’acharnement thérapeutique dont je ne veux pas. Mais les pompes funèbres générales, elles, n’ont plus l’exclusivité et on a la LIBERTE de choisir !!!

4.14.2024

Les panneaux solaires

Cet article est déjà ancien. Je l’ai publié lorsqu’une grande partie de nos centrales ne fonctionnait pas.
On nous a saoulé avec les économies d’énergie. C’est à nous de faire des efforts.
J’ai fait poser des panneaux qui produisent plus dans la journée pendant les heures pleines. Je pensais ne pas subir de coupures de courant. Or l’EDF fait passer tout mon courant dans ses lignes et cela ne changera rien pour moi.
Lorsque je les ai fait poser, on m’a demandé la liste de mes appareils. Je ne dois pas produire plus que ce que je ne consomme. Je ne comprends pas ça, car l’EDF revend le courant en trop et cela donne une source d’énergie supplémentaire. Je viens de voir la carte de l’Aube avec l’emplacement de futures centrales photovoltaïques et je suis très inquiète. Vont-ils prendre des terres agricoles alors qu’on en a de moins en moins à cause du bétonnage abusif ? Il y a une énorme quantité de granges, usines, supermarchés qui pourraient en avoir sur leur toit, surtout si on leur pose gratuitement, et si on incite les particuliers à en poser. Pour l’esthétique, c’est mieux que les éoliennes. On ne produit pas assez de courant mais on nous vend des voitures électriques. J’avais envisagé l’achat d’une de ces voitures lorsque j’ai fait poser mes panneaux. Renseignements pris, il fallait payer la location de la batterie et ça m’aurait coûté plus cher que l’essence. Puis il y a leur destruction. Comme pour les centrales, on ne prévoit pas le recyclage.

4.12.2024

Tenir son budget

Dans un de ses articles, « Dame Papote » nous parle de la scolarité.
Il faut revenir aux anciennes méthodes en les dépoussiérant, ce qui est une évidence. Par contre, ce qui me laisse perplexe, c’est d’appendre à tenir un budget. Cela ne peut pas être de la même façon pour un ménage sans enfant que pour un ménage avec enfant. De plus, je ne pense pas qu’il y ait des enseignants qualifiés, même à l’ ENA.
Nous avions des amis qui avaient 8 enfants. Un jour le prof de l’un d’eux décide de leur donner un cours d’économie, puis demande un volontaire qui accepte d’amener les justificatifs des ressources familiales pour illustrer son cour. L’enfant emmène la feuille de paye de son papa et un reçu des allocations. Après observation, l’enseignante lui demande : « mais comment y arrive-t-elle, ta maman ? ».
On m’a déjà dit que j’aurais dû être professeur d’économie. Mes enfants étaient bien nourris, vêtus comme des petits princes, allaient à l’école libre. Je crois que ce ne serait plus possible. On ne peut plus acheter la viande aux abattoirs, acheter le lait et le beurre en gros, aller aux halles, acheter les invendus à moindre prix, ni acheter des restes de tissus et des bobines de laine dans les bonneteries. On ne peut plus aussi entasser ses enfants dans un vieux combi Volkswagen pour les emmener en vacances. Jadis, on mettait un an à s’acheter un aspirateur ou une gazinière. Maintenant on peut avoir tout, tout de suite, grâce aux petits crédits à la consommation. Cela incite les gens à s’endetter.
L’exemple vient de haut...

4.10.2024

Vieillir (2)

Cet article fait suite à celui du 27 janvier.
Je tenais à remercier tous ceux qui ont la gentillesse de venir sur mon blog. Ils ont d’autant plus de mérite que je vais rarement sur les blogs parce que les caractères utilisés dans les articles sont si petits que je ne peux lire que les titres. Il m’est arrivé de coller un article sur une feuille blanche pour l’agrandir. Si je fais un court commentaire, ne vous sentez pas obligé d’y répondre. Je radote mais on m’a dit que je suis née 10 ans trop tard. C’est faux, c’est 20 ans. J’aurais vécu « la Belle Epoque ». Les temps modernes nous ont tout de même donné de belles inventions, si seulement elles étaient bien employées. Les voitures nous ont fait connaître les bouchons, les PV et les accidents. Le téléphone, depuis qu’il est gratuit nous dérange continuellement, depuis longtemps et on n’a plus d’annuaire. La télé depuis qu’il y a trop de chaînes nous donne des émissions sans intérêt et coupées par de la pub. L’électroménager est d’utilisation difficile. L’ordinateur nous perd dans les méandres administratifs.
Philippe Noiret a écrit un joli texte plein d’humour sur les petites misères de la vieillesse :
 
 
Je vous remercie encore de participer à mes radotages Amitiés a tous

4.09.2024

Charlie Hebdo

Dame Papote est révoltée par la dernière publication de Charlie-Hebdo ; il y a de quoi être écœuré.
Je n’ai jamais été « Charlie ». Tous les morts d’attentat sont à plaindre, mais dans les victimes, il y avait des gens connus. Tant pis pour les victimes anonymes du Bataclan.
Charlie-Hebdo est un habitué du scandale. J’ai vu sur internet les photos de certaines premières pages. Je ne comprends pas qu’on puisse publier ce genre de choses et qu’on arrive à les vendre. Ils se sont déjà attaqués à Stromae, lorsqu’il a chanté « Papa t’es où ? ». La famille a porté plainte. Je ne sais pas si les parents du petit Emile auront la force de le faire.
Evidemment on peut se permettre quelques plaisanteries, comme cette bénévole de l’A.P.F. qui a dit lorsque la petite charrette qui promenait les handicapés a faillit en bousculer un : « vous pouvez en écraser, on en a d’autres ! ». Elle a ajouté : «  Nous, on a le droit de dire ça ». Quelques fois ce sont aussi les handicapés qui ont de l’humour comme ce monsieur difficile à monter dans le car : « d’où l’intérêt d’avoir une jambe de bois, on nous monte en pièces détachées. » Mais tout ça ne va pas très loin.

4.07.2024

La Parité

Voilà encore une chose complètement idiote dont on parle surtout au moment des élections. Cela consiste à remplacer une personne qualifiée par quelqu’un de nul à condition qu’elle fasse partie du sexe opposé. A quand une loi qui obligerait d’avoir autant de naissances chez les filles que chez les garçons ?
Je n’ai jamais compris à quoi servaient les binômes. Peut-être à créer des places supplémentaires pour caser les copains. Je n’ai jamais entendu dire qu’un préfet ou un député se déplaçait avec son binôme. Si la parité était exigée partout, nous aurions une grande quantité de femmes dans les sous-marins et d’hommes en puériculture.
Je suis contre la parité. Les femmes sont très capables de se défendre. Par contre, je suis pour l’égalité : A travail égal, salaire égal. Il était anormal que les femmes ne puissent pas voter ni entrer à polytechnique.
Une anecdote pour finir : Mon mari, un peu plus jeune que moi était militaire. Nous avons voulu acheter une moto à crédit, mais le crédit était interdit aux femmes mariées sauf si elles avaient l’autorisation de leur mari. Le mien était encore mineur (en ce temps-là la majorité était à 21 ans) et ça lui était interdit. Nous nous sommes décidés pour une Motobécane d’occasion qui nous a fait le même usage qu’une Terrot neuve.

C’est nouveau

C’est un terme qui me fait fuir. Le « vu à la télé » aussi. On se retrouve dans les magasins en face d’une énorme quantité de produit ; tous...