4.16.2024

Liberté

Premier mot de notre devise nationale.
On finit par ne plus savoir ce qu’il veut dire. Je ne vais parler que de ce qui nous touche moi et mon entourage.
On nous retire petit à petit tous nos droits. On ne peut plus naître, vivre ou mourir comme on veut. Cela commence avec les 11 vaccins dont certains, comme la rougeole, ont aggravé les maladies bénignes car on ne fabrique plus d’anticorps. Puis on a supprimé des écoles rurales pour faire place à des casernes dans l’agglomération la plus grande proche. Les bébés de 3 ans sont ficelés dans des car à une heure impossible l’été (j’ai déjà parlé de la ceinture obligatoire dans les cars). Et on n’a pas le droit de choisir son école. Quant aux cours par correspondance, c’est très compliqué. Souvent les études ne servent à rien. On apprend aux enfants des absurdités comme la théorie du genre. Savez-vous que les vaccins n’empêchent pas les maladies, mais les rendent moins fortes ? Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
L’obligation d’être vacciné pour avoir le droit de travailler est une atteinte à nos libertés (Je ne parle pas des vaccins normaux qui empêchent d’être malades.) 
Le travail. On nous supprime les trains et les cars et on nous oblige à acheter une voiture, électrique de préférence, avec tous les frais que ça entraîne. Il faut tout déclarer et on paye la TVA partout sauf sur la salade que me donne mon voisin, mais ça ne saurait tarder.
J’ai un cabanon. Il m’a coûté presque 1/4 de TVA, plus des fouilles archéologiques. Celui qui l’a construit a payé des impôts. C’est la même chose pour ma maison et je dois payer le foncier pour avoir le droit de la garder.
Et les piscines ? Elles sont imposées et en plus il faut payer des protections qui ne servent à rien. C’est aux parents de surveiller leurs enfants. De plus il n’y a pas de protections au bord des rivières ni au déversoir de Plancy, par exemple, dont les parois verticales sont hautes.
On nous pourrit la vie comme pendant le Covid où tout changeait tous les jours. A la fin, c’est l’hôpital et l’acharnement thérapeutique dont je ne veux pas. Mais les pompes funèbres générales, elles, n’ont plus l’exclusivité et on a la LIBERTE de choisir !!!

2 commentaires:

  1. Liberté ? C'est un vain mot ! Peut-il y avoir liberté s'il n'y a pas sécurité, s'il y a obligations en tous genre, injonctions pour le peuple, mais liberté pour la racaille ?
    Quant à l'égalité... Elle n'est qu'inscrite aux frontons de nos édifices publics... Mais quand il y a une justice injuste et à deux vitesses, il n'y a pas d'égalité. Et la fraternité... le pouvoir s'arrange bien pour la détruire... Diviser pour mieux régner, c'est monter les électeurs les uns contre les autres (Rappelons nous "l'arc républicain")...

    Très bonne soirée

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  2. Je haïs le terme "sécurité"

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